Suite à la forte présence de merisiers dans la région, (petites cerises noires et amères), le cacou s'est naturellement imposé comme figure culinaire de Paray-le-Monial il y a de cela plusieurs siècles. La légende raconte même que ses habitants auraient échappé à la famine au XIe siècle grâce à ce dernier.
Mets délicieux à l'image de la simplicité des tables parodiennes, que l'on aime partager en toute convivialité avec ses hôtes, ce gâteau du printemps est répertorié au patrimoine culinaire français, en région Bourgogne. Il existe également une liqueur de cacou.
En 1972 une Confrérie des Francs-Cacous a été créée. Défenseurs de l'art culinaire parodien et de la tradition du « bien manger », chaque année, lors du deuxième week-end après la Pentecôte, elle se rassemble et défile dans les rues de la ville.
Et oui, il en fallait bien un, un sac à tarte spécial Cacou où, "Porte-Cacou" ! NB : De petites variations entre les sacs existent. Mais l'esprit reste le même : rouge, vert, Broderie "Il Paray", et des cerises bien sur !
La première mention du paon comme armoiries de la commune remonte à 1717. Depuis, cet animal représente la commune.
On retrouve une
similitude entre l'animal qui fait la roue "Le paon rouant"
et le nom "Pa-ray." On dit aussi que le paon fait sa
"parade" nuptiale. C'est lié à la phonétique. En
héraldique, qui fait référence à l'art des blasons, c'est ce que
l'on appelle une arme parlante.
Vous retrouverez le paon sur les murs de la gare,
